Quand l’ombre écrase la lumière, Taraneh Alidoosti et Navid Mohammadzadeh continuent d’éblouir malgré la pluie diluvienne par leur talent tout bonnement incommensurable. Impressionnant, « Les ombres Persanes est un thriller en tout point remarquable dans sa construction. On a beau narrer dans le récit que la pluie est dû à la fonte des glaces, ce qui en découle en Iran est un torrent de grands films depuis bientôt cinq ans. Mani Haghighi, montre tout son talent à la mise en scène, le travail du cadre est remarquable et ponctué d’un montage brillant. Avec Saeed Roustayi, ou encore Ali Behrad et Panah Panahi, voilà des cinéastes qui n’ont rien de clone et pourtant une chose les rassemble et leur ressemble, celle d’avoir indéniablement fait de merveilleux longs-métrages. Vive le cinéma Iranien.
Ma Note
4,5 / 5
BOULEVARD DU CINEMA 
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